Eric récompensé par le TROPHÉE GESICA (Groupement International de 250 Cabinets/2600 Avocats)
- Eric Mousseron Dufort
- 1 nov. 2019
- 2 min de lecture
Dernière mise à jour : 7 mai 2020
Hyatt Regency Chantilly Vendredi 1er Novembre 2019-17h
I) POURQUOI ÊTES-VOUS VENU TÉMOIGNER ?
Tout d'abord, merci Monsieur le Président DONNETTE de nous avoir accueillis avec bienveillance et prévenance (Merci en particulier à Laurence LIGAS-RAYMOND & Hélène MERIO).
Je suis ici pour contribuer à vos côtés à la reconnaissance du handicap invisible qui me touche et pour que la Jurisprudence « Handicapé Invisible >80%» que je constitue soit exploitée par les avocats aux compétences multiples et complémentaires que vous êtes.
II) QUEL MESSAGE VOULEZ-VOUS FAIRE PASSER ?
Si on avait connu GESICA dès la rééducation, on aurait gagné du temps à être accompagnés par un réseau comme le votre !!! Et économisé beaucoup d’argent aussi : nous avons payé des commissions/honoraires à des gens qui ont profité de nous...
Mon épouse et moi sommes dorénavant à votre écoute pour contribuer et vous aider du mieux que nous pourrons à faire avancer les choses dans le bon sens, a favoriser votre Introduction/caution au sein de l'UNAFTC + AFTC & HANDISPORT toutes régions en nous impliquant en tant que « facilitateurs ».
Je veux la reconnaissance dans les médias du statut « Handicapé Invisible >80%».
III) OÙ EN ÊTES-VOUS DE VOS PROJETS ?
Deux projets me tiennent à cœur :
1=> LA PUBLICATION DE MON LIVRE pour pouvoir concourir au « Prix Handi-livres 2020 » en sachant que tous les bénéfices seront reversés à l’AFTC et HANDISPORT Isère car je ne veux rien pour moi, Faire un don
2=> LA TRANSAT : je veux simplement faire cette Transatlantique pour témoigner, faire savoir, prévenir... et aller au bout de mon rêve.
MON MESSAGE FINAL A VOUS TOUS qui êtes de « gros bosseurs » comme je l’étais moi-même : PRENEZ SOIN DE VOUS !
Un jour tout va bien,
LE LENDEMAIN DE L'ACCIDENT C’EST TROP TARD,
ON NE PEUT PAS REVENIR EN ARRIÈRE,
ON NE PEUT PLUS DIRE « AH !... SI J’AVAIS SU !... »
On passe brutalement du « tout bien » au « plus rien »...

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